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Les aventures de Del sur les terres d'Amerique du sud
5 mai 2011

Me gusta leer y releer la poesia de Burgonia...

Buenas tardes Del,

Je reste discret dans mes écrits, mais Je lis, je vois, je vis ce périple
intensément avec plus que de la curiosité. Je contemple et je vibre devant le
spectacle grandiose et riche, à plus d’un titre, qui nous est offert par ta
démarche personnelle.

Les facettes de ta personne que tu donnais à voir jusqu’ici, se trouvent
exaltées par le milieu qui te suggère de lâcher prise, de laisser libre cours à
tes envies, tes aspirations profondes, tes chimères ; tout est amplifié et
libère le naturel de ton être intérieur.

Au fil des lectures, qui s’enrichissent de détails, de personnages, une vieille
connaissance mais pas sa cravate rose éblouissante, de commentaires pleins
d’humour salvateur, avant-même d’avoir vu les images, on ressent une forme de
transformation, une évolution, comme une chrysalide qui se déploierait à
l’approche du printemps, comme un renouveau, l’avènement d’un changement, une
explosion de vie, l’éclosion d’une nouvelle planète…

L’émotion, l’essence de la vie-même, est à l’œuvre ouvrant la porte de ton être
vers la lucidité, la sérénité, la sagesse au milieu de cette immensité qu’est
l’Amérique du Sud, sans oublier qui tu es, ce qui te caractérise, ce que tu
aimes : la musique, les voyages, la communication, les gens, la festivité. Tout
cela se voit, se ressent, on est ailleurs, le dos tourné à la grisaille, en
plein soleil, avec des socquettes jaunes, c’est un Del..ice, Del…sol, Del…sud,
annonciateur de nouvelles voies sans doute.

Il va falloir se préparer à une nouvelle Del, un New De(a)l en somme.

Mais soyons sérieux, fallait-il en passer par là ?
Non, non, mille fois non ! Il ne faut pas regretter d’avoir laissé d’autres
derrière toi à travailler, à quoi cela sert-ce ? Je suis content que tu aies
décidé, je ne sais comment, de faire ce pèlerinage, mais tu vois bien que tout
va mieux chez les indiens qui pratiquent l’élévation mystique, il est vrai au
plus au point à 4200m d’altitude, avec un esprit transcendantal qui ferait pâlir
Salvador Dali, et ils s’en sortent.

Je terminerais par un vieux dicton bourguignon, Là où il y a de l’eau de Vie…il
y a des poires !

Je t’embrasse,
Miguelito Incognito

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